Amplitude backswing et finish
C'est le finish complet qui montre que la balle a été traversée. Il n'est pas nécessaire d'avoir un backswing complet avec shaft parallèle au sol pour envoyer la balle aussi loin, avec l'avantage d'un meilleur contrôle. Le plus important est d'avoir une vitesse maximum à l'impact, pas avant.
C'est le bon transfert de poids sur la jambe gauche qui fait que le point bas du swing va se trouver après la balle, dans le sens de l'objectif (sauf pour le driver que l'on frappe en remontant sur le balle). C'est aussi pour cela qu'il font autant de divots avec certains clubs et pour certains coups. On a l'habitude de dire qu'il faut avoir les mains devant ou au dessus de la balle, avec les fers pour bien les frapper.
Selon Ximist, il existe un petit truc pour savoir où l'effort est produit et qui peut éventuellement permettre de corriger le moment où l'on va accélérer.
Pendant le mouvement, faire "haaaaaaaaaaaa" (du style émettre un son monocorde), pour pouvoir situer le moment où tu l'effort est donné puisque la contraction des muscles va moduler le son et que l'on va s'entendre forcer. Ensuite il faut essayer de retarder ce moment où l'on va forcer en essayant de contrôler la voix. Et là si les choses se mettent bien en place on va pouvoir compléter le mouvement du backswing complet au finish complet.
Zebulon revient sur le concept du pendule :
Il se résume à trois points :
- apprendre à ressentir le poids de la tête de club dès qu’elle quitte sa position de repos
- utiliser la force de pesanteur sur le club et ajouter seulement l'impulsion afin de gagner en puissance (ce que j’appelle l’effet balançoire)
- enfin découvrir par soi-même comment fonctionne un swing sans avoir recours aux clichés habituels de construction.
Se mettre à l’adresse, stance pas trop écarté afin de pouvoir plus facilement passer d’un appui sur l’autre
Les appuis au sol doivent être comme si on était lourd et relaché, un peu comme si on était sur de la glace
Prends le fer 7 et faire un backswing de telle manière que le bras gauche soit tendu exactement dans la ligne de l’objectif mais bien sûr en arrière ; les poignets ont armé le club et les épaules sont au ¾ tournées.
Maintenant on doit mettre en œuvre le pendule c’est à dire faire en sorte que le club revienne sans intervention de notre part au niveau du haut du corps.
Pour cela, il faut déclencher quelque chose du bas du corps, soit les hanches, soit pour moi, de rentrer mon genou droit.
Une fois ce déclenchement fait, il faut laisser le bas se stabiliser car c’est le haut qui va se dérouler.
Lors de cette descente du club, on doit veiller à ce que le bras gauche dirige toujours le club et que la main droit soit toujours « en dessous et derrière» le club.
On doit toujours être derrière ce club avec son buste mais puisque le club change d’orientation, on doit le suivre et répondre à sa sollicitation. C’est cela qui est le plus dûr à saisir.
Quand on arrive sur la balle, si le corps a bien suivi, les mains traversent la balle et alors ton bras droit va alors se tendre et le club pourra alors nous entraîner vers le finish.
Le chemin du club, on va le sentir peu à peu, mais il reste sur un plan incliné, c’est pour cela que je préfère dire fer 7, car SW c’est trop vertical.
Selon Ben Hogan : à l’adresse, il passe sa tête dans une plan incliné composé d’un vitre et son club doit se mouvoir uniquement à l’intérieur de ce plan.
Pour les puristes, le plan du retour est décalé vers la droite car le plan de retour n’est pas le même que celui du backswing.
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