Le monde du petit tigre

La vie est quelque chose de si précieux : on peut se passionner pour des domaines si différents et y puiser la source de ses envies, de ses désirs. Vivre intensément et communiquer ses coups de coeur, c'est tellement appréciable; s'enrichir des autres et donner à son tour, c'est primordial. Voici mon petit jardin, mon petit monde, celui de Little Tiger !

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Lieu : Troyes, Aube, France

Je suis passionné de tout, de sport, comme le golf , le roller, le tennis, de voyages. je suis aussi passionné de photographie, et vous pouvez aller voir mon blog sur les élections de Miss et shootings à http://www.photo10.sup.fr

12 février 2003

L'évolution des balles IV

De nombreux fabricants investirent alors le marché, proposant différents modèles de balles, ornés de motifs divers. Les balles flottantes firent leur apparition. De nouvelles améliorations permirent par la suite aux joueurs de frapper leur balle pendant plus de six mois, ce qui représentait un progrès considérable. En effet, la balle souffrait depuis son origine du phénomène de fragmentation. Les règles étaient d'ailleurs explicites à ce sujet: " Si la balle se désagrège en plusieurs parties, une autre balle peut être déposée là où repose la plus grosse partie ". Les balles en gutta-percha usagées étaient souvent restaurées par les golfeurs qui n'avaient pas les moyens de les remplacer. Pour les remodeler, on portait à ébullition les anciens morceaux jusqu'à ce que le mélange soit fluide. Avec des gants en cuir, il était possible de rouler à la main les blocs de gutta-percha ou de les placer entre deux planches. Pour les empêcher de coller, on rajoutait de l'huile de lin. L'opération se poursuivait jusqu'à l'obtention d'une sphère plus volumineuse que le modèle définitif, car en séchant, les balles rétrécissaient. Quelques semaines plus tard, elles pouvaient être peintes.
Source : Vivien Saunders : Manuel du golf - le matériel, la technique, la pratique

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