Le monde du petit tigre

La vie est quelque chose de si précieux : on peut se passionner pour des domaines si différents et y puiser la source de ses envies, de ses désirs. Vivre intensément et communiquer ses coups de coeur, c'est tellement appréciable; s'enrichir des autres et donner à son tour, c'est primordial. Voici mon petit jardin, mon petit monde, celui de Little Tiger !

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Lieu : Troyes, Aube, France

Je suis passionné de tout, de sport, comme le golf , le roller, le tennis, de voyages. je suis aussi passionné de photographie, et vous pouvez aller voir mon blog sur les élections de Miss et shootings à http://www.photo10.sup.fr

22 octobre 2002

Je suis court !

Je ne lance mon bois 3 qu'à 160 m-180m, je me suis dit qu'il faut que j'achète un driver pour gagner un coup en lançant le driver à 220 m au moins comme certains joueurs le font si bien ! Mais je ne suis que 33 d'index et on me le déconseille fortement ! Sniff, ça y est je suis perdu ! Je comprends plus rien ! Je vais les gagner où alors ces coups ? au putting, aux approches à moins de 80 m ? peut être, mais alors les bons joueurs on des drivers qui pètent le feu et moi je suis à peine aux 135 m sur un par 4 ? et je dois prendre encore un bois ou un long fer que je ne maîtrsie pas nécessairement et ça finit souvent dans un bunker ou un bois ou le rough. Comment faire pour avoir les greens en régulation ? Re-sniff... Je ne pèse que 51 kgs pour 1m60... Help me !! Merci

20 octobre 2002

Citation d'Arthur Shaw

To play golf, it's not necessary to be a fool, but it helps.

19 octobre 2002

Le mental

Et oui, le mental.... ce fameux mental qui transcende ou qui lamine. Je suis passé par les affres d'un 20 Stableford (en 3° série faut le faire !!) et donc j'ai maintenant un moral à toute épreuve en me disant que maintenant je ne pourrais faire pire au niveau du jeu et du score, au niveau des drops et des bunkers et des trous d'eau !!!
Donc j'ai bien encadré cette mémorable journée. Sinon, le privilège de jouer une partie sympa (même en compétition avec des inconnus) alors que d'autres se gavent des Grand Prix de Formule 1 ou des séries américaines dominicales me fait penser que quoiqu'il arrive je suis BIEN. Un petit truc personnel aussi pour évacuer cette soi-disante pression que j'emprunte à un sportif de renom et qui disait un jour en substance à un journaliste :"la pression, vous rigolez... est-ce que j'ai la pression ? Je n'ai pas le droit d'avoir la pression. Celui qui meurt de faim en Afrique ou celui qui fait la manche au coin de votre rue, lui il a la pression."
Moralité, soyons humbles face à ce que nous appelons le trac ou la peur. On a la chance de faire un des plus beaux sports dans des cadres magnifiques, le reste doit avoir bien plus d'importance à mes yeux. Ce n'est pas pour autant que je perfe à chaque compet !!! mais c'est juste pour essayer de ne pas m'apesantir sur ma pauvre carte ou mon slice !
D'où mon incompréhension face à ceux qui jettent leur driver à quelques milliers de francs...

17 octobre 2002

Cette recherche intérieure

Un golfeur se définit souvent par rapport à ses distances, et ses distances au drive. Il n'est pas rare que ce soit le seul élément qu'il retienne de sa partie ! j'avoue humblement que ma distance au départ (fer 2 ou 3 ou bois 3 selon les humeurs) est indécemment courte et parfois pimentée d'un slice venu de je ne sais où... d'où le titre de mon sujet : avez-vous déjà vécu comme moi les affres de la journée qui aurait mieux fait de ne pas exister ? ou bien cette marche triomphale vers la présidente du club qui vous remet un prix ? ou bien encore cette solitude pesante à la recherche de la petite balle perdue dans le rough épais ? ou bien cette pitié pour votre partenaire qui n'est décidèment pas dans un bon jour ? ou cette appréhension à dire quel score vous avez fait ce jour là ? ou ce sourire béat parce que tout vous réussissait aujourd'hui ? bref, cette richesse intérieure, ce vécu avec soi-même, face à soi-même et en soi-même, c'est cela que j'aime le plus au golf. Plus que le lancer à x mètres, c'est cette recherche personnelle de l'exécrable au magnifique, du sublime au lamentable. C'est cela que je remets personnellement en jeu chaque dimanche que Dieu veut bien me donner la joie de vivre. Et quand le lundi matin, je vois mes collègues qui ne savent pas à quel point la lutte a été intense, à quel point le gouffre a été béant, je m'aperçois avec bonheur et tristesse que je ne cesserai jamais d'apprendre à me connaître, l'alpha et l'omega de toute une vie concentrés dans une petite sphère blanche, porteuse des espoirs les plus vains, véhicule de notre imaginaire et de notre déraison. Au 19° trou, nous continuerons à nous "déchirer" sur notre potentiel physique, l'essentiel dans le golf reste et demeure - à mon goût - cette tempête dramatique qui se joue au trou N°1, ce relâchement béni qui nous attend au mât du trou N°18. Toute une vie de sentiments qui s'est jouée en quelques heures, sur un beau tapis verdoyant et parsemé d'embûches, c'est surtout pour cela que le golf restera pour moi ce défi permanent, cette quête de l'insaissable, du futile et de l'éphémère.

06 octobre 2002

La plus belle contre-perfomance

Lors de la Coupe Coiffard, un joaillier de Troyes, je suis revenu avec 20 pts Stableford (corrigés à 19 avec le SSJ) avec un index de départ de 32.7...
C'était du n'importe quoi, mais on a eu de belles crises de fou-rires avec mes 2 partenaires du genre drive de 1 cm (balle juste tombée du tee sous l'effet du courant d'air) ou plouf plouf à répétitions ou encore visite de 3 bunkers de suite sur le même trou... On s'est tous payé un coup à boire ce jour-là. C'était mémorablement bon pour le moral de toucher le fond dans la décontraction et la bonne humeur ! Une de mes "meilleures" journées de plaisir golfique assurément sans aucune ironie. Et ce n'était pas dû aux conditions climatiques, juste à mon jeu, en pleine purée de poix !

03 octobre 2002

Pro, magazines ou autodidactisme ?

A mes tous débuts, j'ai pris 4 heures avec un Pro qui ne m'ont servi à rien, car je n'avais aucun plaisir et aucune sensation. Le langage me paraissait compliqué, les concepts techniques rébarbatifs et osbcurs. Et surtout, les progrès n'étaient pas significatifs. Les balles continuaient à me narguer imperturbables. Des personnes attentionnées et des amis m'ont donné des conseils qui m'ont fait un peu plus progresser, agrémentés en cela par des bases théoriques de Golf Magazine.
J'ai malgré tout commencé les compétitions en août 2002 pour me forcer à m'améliorer, étant certain que la quantification de mon score officiel me forcerait à fournir davantage d'efforts. Puis j'ai eu la chance de rencontrer Renaud un Pro en stage (qui va "malheureusement" officier à Strasbourg) et là le DECLIC a eu lieu : sensations, plaisir et d'immenses possibilités en moi à découvrir sans parler de la confiance acquise !
C'est simple, sa première leçon a été de me mettre dos au drapeau et d'y envoyer quand même la balle !!
"N'oublie jamais ça. Un club, une balle, un objectif. Tout faire pour amener la tête de club dans la direction de l'objectif. Le reste est supeflu."
En ce début d'octobre 2002 je suis 32 et je ne compte pas m'arrêter là, mais j'aime bien reprendre des articles de base sur des choses que j'ai tendance à oublier ou qui expliquent le pourquoi et le comment. En bref, mon petit parcours m'indique qu'un pro enthousiaste et pédagogue est irremplaçable mais qu'il peut être complété par des rudiments théoriques développés dans des bouquins et magazines ne serait-ce que pour comprendre; surtout quand on est livré un beau jour de compétition à soi-même avec un slice dévastateur ou confronté à un vent soufflant en rafales ou à un putting fébrile. Quel beau sport en tout cas alliant technique, mental et abnégation !!

02 octobre 2002

Harmonie naturelle

Loin de la technique, le golf est une occasion de redécouvrir la nature, des coins privilégiés au milieu d'arbres centenaires, de pinèdes enbaumées, des fairways luxuriants, le long de plans d'eau paisibles; c'est une véritable communion qui s'instaure, une oasis de quiétude seulement troublée par les chants d'oiseaux et le bruit des balles. Le golf apprend à respecter Dame Nature et ses bienfaits.Posted by Hello

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