Le monde du petit tigre
La vie est quelque chose de si précieux : on peut se passionner pour des domaines si différents et y puiser la source de ses envies, de ses désirs. Vivre intensément et communiquer ses coups de coeur, c'est tellement appréciable; s'enrichir des autres et donner à son tour, c'est primordial. Voici mon petit jardin, mon petit monde, celui de Little Tiger !
Qui êtes-vous ?
- Nom : Matthieu Constanzo
- Lieu : Troyes, Aube, France
Je suis passionné de tout, de sport, comme le golf , le roller, le tennis, de voyages. je suis aussi passionné de photographie, et vous pouvez aller voir mon blog sur les élections de Miss et shootings à http://www.photo10.sup.fr
30 janvier 2003
28 janvier 2003
Amplitude backswing et finish
26 janvier 2003
Bob Rotella : "Jouer au golf sans viser la perfection"
Ce pro du mental insiste beaucoup sur le fait qu'il faut oublier tous les aspects techinques. du swing en jouant.
Ses conseils reposent sur la constatation que le cerveau commande le corps de manière optimale (mode réflexe ou action/réaction) pour atteindre un but précis, alors qu'il est moins efficace quand on cherche à disséquer le mouvement car là tout s'embrouille. On ne peut pas penser à son swing pendant son exécution, c'est comme penser à la manière de marcher pendant qu'on marche; il y a de grandes chances que le coup soit raté. 25 janvier 2003
Faire abstraction du mental
Zebulon me l'a dit pourtant, pour faire abstraction, je dois chercher à sentir et ne plus penser. Il me conseille de construire une image mentale d'un de mes joueurs préférés et de jouer cette image quand je swingue. Cette approche est très valorisante pour ceux qui se sous-estiment dans leur possibilités de bien jouer et cela occupe leur mental.
D'autres conseillent aussi de ressentir une émotion positive (extérieure ou pas au golf) juste avant de jouer le coup. Mais le but est le même : ne pas se poser de questions. RESSENTIR et jouer.24 janvier 2003
Le mythe de la distance
23 janvier 2003
Ernie Els après l'impact
22 janvier 2003
100 m au fer 7
Série callaway Big Bertha. En essayant le concept du pendule, la balle part haut et sans heurt mais pas très loin. Selon Zebulon, à la montée, le bras gauche est collé à la poitrine et tout monte d'un bloc : l'épaule gauche, le bras gauche, poignet, main, club, ne font qu'une seule entité. Les pros ne font rien avec leur bras, c'est leur amorce de retour (soit par la reprise d'appui sur leur jambe gauche, soit par leur rappel des hanches) qui fait que leur bras et tout ce qui va avec, va se trouver momentanement en retard mais comme ma ficelle à la bouteille, va accélérer et passer prendre la balle tandis que les appuis au sol sont fermes, seulement la hanche droite est déjà ouverte vers la cible. Mais attention il ne faut pas glisser latéralement avec les hanches. Il faut que j'essaie de sentir à quel moment je dois ajouter l'impulsion à mon club avec le bras droit. Comme Ernie Els, il faut traverser la balle avec le club et le poids de la tête emmène les bras vers le finish. Il n'y a pas à le provoquer. Il faut penser à projeter la tête de club vers l'objectif sans penser à la balle. L'image mentale du joueur est nécessaire pour ne pas penser distance et ne pas se contracter. L'avantage de se construire une image mentale d'un de ses joueurs préféré et de jouer cette image quand on swingue est que cette approche est très valorisante pour ceux qui se sous-estiment dans leur possibilité de bien jouer et cela occupe le mental. Une chose à avoir à l'esprit, c'est de vouloir envoyer la tete de club trop tôt vers la balle avec a la clé des hooks et des pulls. En fait il faut penser à envoyer le grip vers la balle.
Sensations après le pendule
120 balles de practice aujourd'hui et en "essayant" le pendule, la balle part effectivement sans heurt et haut .. mais pas loin. Bon l'avantage, c'est que je ne force pas et que la balle part avec un bruit feutré. 100 m au fer 7 (Big Bertha Callaway), c'est trop juste quand même ! Alors avec le pendule je la trouve où la puissance ?
Zebulon me dit de garder mes appuis au sol et d'essayer de sentir à quel moment je peux ajouter l'impulsion à mon club avec mon bras droit. Si on regardes Ernie Els, il traverse la balle avec son club et c'est le poids de la tête de club qui sous la gravité et l'accélération emmène les bras vers le finish.
Le finish se fait tout seul, il n'y a pas à le provoquer. Si c'est le cas c'est qu'il y a quelque chose qui ne va pas avant.
Je crois pas que je ne cherche pas à le provoquer, j'arrive face à la cible quasi naturellement sans y penser.
En fait si, mes coups les plus fluides viennent quand je pense à la position finish et tout se met en place. C'est quand je cherche de la distance (que je ne trouve évidemment pas) que je fais le sagouin...et là le finish est désastreux car je veux guider mon club comme sur la photo.
Je vais esssayer de ressentir cette impulsion du bras droit comme le dit Zebulon. Mais tel un bras de pendule comtoise, mes bras sont tendus pendant toute la descente car les poignets se décassent dès le début du downswing. Je n'ai pas ce fameux retard et quand je le provoque, c'est la catastrophe. 21 janvier 2003
1000ième post sur le forum FFG
Cela va vite mais c'est presque devenu une drogue... j'ai trouvé une joyeuse communauté
19 janvier 2003
Le pendule
J'ai découvert un site web technique primordial : il s'agit de swingconcept.net. Le swing s'inspire du mouvement de pendule et c'est édifiant de simplicité car il laisse la part belle à une force naturelle,la force de gravité. Un passionné de golf, Zebulon alias TGM explique que lorsqu'un enfant se balance sur une balançoire et qu'il veut aller plus haut, celui qui le pousse dans le dos va donner une impulsion plus ou moins forte, plus ou moins longue certes mais au bon moment, c'est à dire lorsque la balançoire est déjà en train de repartir grâce à la pesanteur, donc au point le plus bas de la trajectoire circulaire.
Ainsi un joueur de golf qui swingue ne frappe pas mais cherche à pousser sur son club au bon moment pour ADDITIONNER son implusion à la pesanteur qui s'exerce sur le club grâce au poids de la tête de club. C'est pour cette raison toute simple que le maximum d'accélération du club a lieu après le point bas du swing et non pas avant.
15 janvier 2003
L'alimentation sur un parcours
Il faut tenir 4 heures et plus. Ce n'est pas tant que l'intensité physique soit intense - contrairement. On marche, on s'arrête, on joue, on pense. Mais le golf est un sport de précision; si le corps défaille, le cerveau analysera mal. Les jambes donc les appuis ne pourront être efficaces et finalement c'est l'ensemble qui se dérèglera. Cela est d'autant plus vrai sur un parcours.12 janvier 2003
Que c'est bon la vie !
La mécanique humaine est ainsi faite que parfois elle défaille. Même si c'est une bien belle machine, les engrenages peuvent rouiller. Crises de calculs aigües et opération urgente. Ca fait du bien de revenir chez soi. Merci aux médecins et aux infirmières. Le golf et le forum vont être une excellente thérapie même si c'est encore l'hiver là dehors. C'est bon la vie et la maladie fait prendre du recul sur ses misères golfiques et ses misères tout court. On pense rarement à notre santé hormis quand on est défaillant. Merci mon Dieu, je suis toujours là.
11 janvier 2003
Ce que dit David Leadbetter à propos de Ben Hogan
07 janvier 2003
Le facteur X, facteur puissance
Toujours à la recherche de la distance, m'est apparu le facteur X, c'est à dire le différentiel hanches-épaules. Mais comment faire pour bloquer la rotation des hanches et que le ressort se tende vraiment ?
Voyons ce qu'en dit Ben Hogan :
Hogan on the hips
The hips start the downswing by turning to the left, an idea that Hogan introduced in his book Power Golf. A slight lateral motion accompanies this turning of the hips back to the ball, so that the golfer can transfer weight to the left foot.
The hip action starts a chain reaction. The weight moves smoothly to the left leg, and the right knee kicks in toward the target. The multiplying power generated by the synchronized motion of the torso, hips and shoulders transfers the power down through the arms, then into the hands, and finally it is multiplied again into the clubhead as it swings aggressively through the ball.
The one sure way to destroy the powerful multiplying factor of the torso, Hogan believed, is to start the downswing with the hands. This forces the body out and over, which produces an outside-in swing. The results are all too apparent to golfers: They hit weak slices and pulls. To counteract this, Hogan cautioned novices and average golfers to keep conscious hand action out of the swing. He contended that the hands really do nothing on the downswing until the arms have dropped into a position just above hip height. The arms get there because the motion of the hips carries them down.
Hogan liked to have his hips opening up toward the target with the left leg bowing outward and the weight moving to the outside of that foot. His final thought for the downswing was always to hit the ball hard. Hogan felt that many golfers tried to steer the ball on line and curtail their power, thinking that by doing so they are reducing any potential error. His opinion was--and he certainly demonstrated this--that with good fundamentals, the harder one hits the ball, the straighter it would go.
In summary, Hogan said repeatedly that, while playing, he thought of only two things regarding the downswing: He thought of starting the hips first, and of hitting the ball as hard as possible with the body, arms and hands, in that sequence. He felt that not much could go wrong for the golfer who produced the correct sequence of events during the swing.
Pour trouver de la distance, ne suffit-il pas d'avoir l'esprit libéré et un relâchement du haut du corps ?
06 janvier 2003
Tom Watson à propos de la rotation des hanches
Selon Tom Watson a slender young man like Charles Howell III hits the ball so far. I said that Howell clears his hips really fast on the downswing -- with exceptional timing, of course. It's the way Barry Bonds hits a baseball so far. Fast hip rotation is the athletic move of the swing. Most people are not able to make it to the degree that professionals do -- especially young and flexible professionals. Rotating the hips at the start of the downswing lets the arms fire powerfully. Although I'm not an official endorser, I've had success using a training aid called Instant Replay to speed up hip movement in the swing A word of caution: speeding up your hip rotation is an advanced approach. Many golfers would be better off concentrating on swinging their hands and arms freely. If you swing your hands and arms well, better hip action tends to follow.
Source : Golf Digest





